lundi 19 mars 2007

Hello, Is There Anybody In There ?



Quelle Expérience...
Ce soir je viens de revoir "The Wall" réalisé par Alan Parker.
La dernière fois que je me suis retrouvé devant cette oeuvre, je devais avoir 14 ans.
J'étais au ciné "Le Cesar" avec Ralph, Ber et quelques autres...
Une expérience marquante...
Un blond s'en souvient.
Mais je m'égare en faisant de la Private Joke.
La musique de Pink Floyd est la trame d'un scénario écrit par Roger Waters.
L'histoire d'une rock star Pink qui durant une tournée américaine plonge dans un état de coma profond.
Pink revit les moments difficiles de sa vie.
A chaque coup dur, la mort de son père au combat, sa femme qui le trompe, sa vie qui ne le surprend plus, il se construit un mur autour de lui.
Une carapace qui l'éloigne de la réalité et le précipite vers la folie.
La folie l'entraîne dans un monde fasciste d'uniformisation de la pensée unique.
Jusqu'à ce que le mur explose.
Jusqu'à ce que la vie retrouve ce qu'elle a toujours été.
Une expérience dangereuse qui peut parfois tourner mal, mais souvent tourner bien lorsqu'on y prête attention.
C'est un film très bien monté avec des titres composés sur mesure.
The Wall m'a énormément marqué entant qu'adolescent.
C'est en le revoyant ce soir que j'ai compris qu'il ne pouvait l'être autrement.

Un Site Interressant: membres.lycos.fr/pfthewall

2 commentaires:

Anonyme a dit…

que dire de plus apres avoir lu une eloge aussi bien redigé;peut etre qu'on a tendance a oublier un peu trop facilement que ROGER WATERS est un pilier de ce groupe mythique et que son absence au sein de ce quatuor emblématique fait cruellement defaut et ce n'est pas la sortie du dernier DVD en date qui me fera changer d'avis bien au contraire car l'atmosphere y est tres froide meme si musicalement il n'y a rien a dire.il manque toutefois ce petit brin de folie qui fit les beaux jours d'un des groupes les plus inventifs de ces 30 dernieres années!!!!!

Anonyme a dit…

La véritable folie chez les Floyd, il faudra la chercher chez feu Syd Barret.
Roger Waters n'en a que la pâle saveur.