vendredi 20 juillet 2007

Un Avant Gout de Vacances ...





Et oui, le rendez-vous était pris depuis quelques temps.
Les kilomètres furent avalés et je me retrouvai, à nouveau, à Cimiez pour le Nice Jazz Festival saison 2007.
Au programme de la soirée, No Jazz, Nate James, Marcus Miller, Donavon Frankenreiter et Sly And The Family Stone.
Tout a commencé avec deux groupes locaux qui ont plombé la fin d'après-midi.
Un groupe de reprise soul pas convaincant, et une formation de rock progressif niçois qui n'a pas déscotché des années 80.
La prestation de No Jazz n'a pas été à la hauteur de mes espérances, et cela malgré la présence d'une voix londonienne qui a amené un peu de vie à cette formation pas convaincante.
La surprise de la soirée fut la résurrection de Steevie Wonder en un jeune anglais qui se prénomme Nate James. Des titres parfaitement groovys, une bonne dose d'humour. Je vais me renseigner du côté de ce nom montant de la scène british et vous proposer un post d'ici peu.
La claque musicale, aussi bien sonore (ce son de batterie, quelle classe), est attribuée à un Marcus Miller en pleine forme nous offrant un "Jean-Pierre” écrit avec Miles Davis d'excellente facture.
La promesse tenue, le rendez-vous que j'avais pris il y a plus de trois mois: le concert de Donavon Frankenreiter.
Comment dire ?
Magique ?
Un moment unique dans cet endroit merveilleux ?
Pas seulement, une âme généreuse, une musique tout aussi ravageuse.
Un bonhomme qui vit sa musique, ses textes.
Admirable.
Merci Donavon pour ta disponibilité et ta musique.
Tu as su remettre les choses à leurs places.
La musique est un art, et non pas un nom qui laisse rêveur (La prestation de Sly et de sa famille déchirée fut catastrophique, je suis parti après un "Sing A Simple Song" gâché).
La musique, c'est ce que tu nous as offert hier soir.
Merci

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Avec ses airs de Knut Le Grand, viking de renom, Donavon nous a pas joué de la hache mais bel et bien de la 6 cordes d'une manière a nous faire oublier qu'on était en France. A chacun de ses refrains je m'attendais a voir arriver derriere la scene une déférlante de 6 mètres sur laquelle on aurait bien voulu surfer avec lui... Un pur moment de plaisir, des chansons qui se degustent comme votre dessert préféré, saupoudrées de quelques doses d'harmonica, nappées de delicieuses melodies, et enrobées de merveilleux solos, un excellent moment sur lequel on aurait bien envie de se faire un retour rapide pour vivre et revivre ce pur instant de bonheur...

Aloah Donavon, et maintenant que tu connais la route, a bientot j'espère...

seral a dit…

J'ai envoyer une petite pub te concernant sur un site "anglosaxon" relatant les mérites de ton travail au quotidien.
Facebook est comparable à MySpace.
On verra les retombés...eventuels.

Seral

http://www.facebook.com/group.php?gid=2212818107

Nico a dit…

Merci pour le coup de pub.
En esperant te retrouver après mes trois semaines de vacances amplement méritées.
Je suis sur les rotules ...