Death Records, Swan et Winslow
C'est en me réveillant d'une nuit courte et pas reposante que j'ai décidé d'écouter la bande originale du célèbre film de Brian de Palma "Phantom Of The Paradise".
L'histoire de ce jeune compositeur bourré de talent, Winslow.
En quête de reconnaissance, il tente de présenter ses compositions au label en vogue Death Records dirigé par la méga star Swan.
Suite à l'audition, Winslow se fait remercier et repartira avec ses partitions.
Mais le vieux Swan a tout enregistré et décide de s'emparer des chansons de cet illustre inconnu.
Il a l'intention d'en faire un opéra rock qui ouvrira sa nouvelle salle.
Le Paradise.
Il recrute un chanteur exubérant, Beef.
Ce chanteur me rappelle les vocalismes d'un gamin qui passait sur M6.
Winslow s'apercevra de l'arnaque et tentera de s'interposer.
Il en découlera un tragique incident coûtant le visage du compositeur.
Dès lors, Winslow donne vie au fantôme qui hante le Paradise.
Il n'a plus qu'un seul but, nuire aux répétitions de l'opéra.
Swan a, entre-temps, engagé la bien aimée de Winslow, Phoenix.
Mais cela ne freine pas le fantôme qui fera exploser le décor sur scène.
Swan tente de se réconcilier avec son naïf adversaire.
Il lui fait signer un contrat et l'enferme dans un studio.
Le fantôme ne supportera pas le vampirisme imposé par Swan.
Swan a quelque chose de diabolique et le contrat qu'il a signé avec le diable pour la gloire éternelle n'y est pas pour rien.
Mais Winslow, par ses perles musicales, saura se montrer plus fort que le diable lui-même.
Un film à voir et à revoir, une bande originale à écouter et à réécouter.
C'est de la grande pop, celle qui donne du baume au coeur.
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